Are You Alive ? (V.2)
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 Cassidy D.E. Smith --- Les choses brisées génèrent de la Colère

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AuteurMessage
Cassidy Smith
Colère
Cassidy Smith


Messages : 43
Points Rp : 24
Date d'inscription : 09/07/2012
Age : 48

~ Mon Histoire ~

Localisation : Dans le Couloir
Occupation actuelle : Tambouriner à la porte de Beth
Humeur : Colérique, étonnamment...

Cassidy D.E. Smith --- Les choses brisées génèrent de la Colère Empty
MessageSujet: Cassidy D.E. Smith --- Les choses brisées génèrent de la Colère   Cassidy D.E. Smith --- Les choses brisées génèrent de la Colère I_icon_minitimeLun 17 Sep - 16:43





1 - identification

Cassidy D.E. Smith --- Les choses brisées génèrent de la Colère Ico10


    [Fiche remplie à : 100 %]


    NOM : SMITH
    Prénoms : Cassidy Dante Edward
    Âge : 37
    Date de naissance : 27 Juillet 1975
    Statut : Invité
    Péché prédominant : Colère











2 - personnalité
Répondez...

Une couleur ? Le Bleu
Un animal ? Le Lion
Une chanson ? The Rains of Castamere
Une saison ? L’hiver
Une activité pour se défouler ? Le Kick-Boxing
Un moment de la journée ? La nuit, là où tous les chats sont gris

Complétez...

Le matin au réveil, je... me lève pour aller pisser, et ouais
Quand on m'énerve, je... frappe, souvent
Entre les hommes et les femmes, je préfère... les femmes
Ce que j'aime le plus au monde, c'est... ma sœur, malgré tout
Ce que je hais le plus au monde, c'est... l’Être









3 - biographie
Au début, je suis né ; dans une famille bourgeoise en plein cœur de New-York. Ma mère était splendide, une ancienne reine de beauté. Mon père était déjà plus banal : court sur patte avec une calvitie naissante. Mais c’était un gros bonnet de l’immobilier, alors il avait de l’argent. Pourtant, je ne suis pas sûr que ma mère se soit attachée à ça, puisqu’ils restèrent ensemble. Ils eurent ma chère sœur, et puis ils m’eurent moi. Ils nous aimèrent pareil - ou presque, selon les périodes et nos frasques. On eut les mêmes attentions, quasiment les mêmes cadeaux et un amour pudique mais réel. A côté de notre faste destin, nos parents nous apprirent la dure loi de la vie. Nous avions nos premières leçons de morales très tôt et quelques dollars d’argent de poche pour nous acheter des bonbons. A la sortie de l’école – d’une école moyenne et non fortement renommée – aucune limousine ne nous attendait. Nous rentrions en taxi, si nous avions économisé assez d’argent, ou en bus, comme tout le monde.

Ca, cette vie, c’était avant le drame.
Un jour, quand je suis sorti de l’école, un homme m’interpella. Nous nous sommes fixés longtemps avant que je m’aperçoive que nous ne nous connaissions pas. Le fait qu’il sache mon prénom ne me suffit pas à m’approcher de lui, comme il me l’intimait vivement de la main. Alors, quand il fit son premier pas vers moi, je me mêlai un peu plus à la foule de parents et d’enfants. Une masse grouillante remplie de cris et de protestations... Autant dire que les miens, quand l’homme que je ne connaissais pas m’agrippa par le bras, passèrent complétement inaperçu. J’ai hurlé fort pourtant. Je croyais que ça serait suffisant. Malheureusement la richesse peut être une parfaite source d’indifférence. Les seuls regards dont me gratifièrent les parents furent méprisants. Ils ont dû penser : La colère d’un enfant Roi. Un domestique, ont-ils dû se dire dans leur barbe en le voyant me réprimander par mon prénom et en s’excusant si gentiment.

Cet homme s’appelait Steve.
Cet homme n’était pas l’un de nos domestiques.

Et – quelle chance - je faisais office de premier délit pour Steve.
Steve qui avait le visage le plus banal du monde et, quand les policiers interrogèrent les parents et les enfants, Steve fut une dizaine d’hommes différents. Il fut grand, petit, moyen, svelte et un peu enrobé, avec les yeux marrons, verts et bleus… Un père raciste jura qu’il était Noir, tant et si bien que sur les portraits robots, un parfait caucasien d’âge moyen, devint l’archétype d’un afro-américain prébubère tout juste enrôlé dans un gang local.

Je ne vous cache pas que les esprits se sont beaucoup échauffés. On chercha dans tous les sens mais, évidemment, pas le bon type.

Moi, j’étais toujours dans la cave de ce mec. Un mec, je l’appris plus tard, complétement stupide ; tellement stupide que personne ne se douta qu’il pouvait être le coupable. Il ne gardait pas un boulot plus d’un mois, il était systématiquement arrêté… La seule chose qui le faisait vivre c’était la mort de ses parents : ils lui avaient cédé une maison et une coquette somme d’argent. S’il n’avait pas de copine c’est qu’il était homosexuel, et s’il n’avait pas de copain c’est parce qu’il était impuissant : un problème qu’il pensait résoudre avec un pré-adolescent. Peut être étais-je moins impressionnant qu’un adulte mais, malheureusement pour lui, lorsqu’il décida de me descendre dans sa cave, je me suis débattu avec une telle rage… Qu’il trébucha dans les escaliers et me lâcha dans la foulée. Lui, il arriva à se rattraper avant de faire une dégringolade de 23 marches… Pas moi.

Je ne sais pas bien ce qu’il s’est passé ensuite, en tout cas certainement pas ce que Steve avait prévu. Je me suis réveillé dans le noir, sur un matelas peu confortable et avec une sensation étrange – j’étais complétement shooté. Mon bras droit était mobile, le gauche tellement serré contre mes cotes que je n’arrivais pas à le bouger.

J’ai passé des jours et des nuits ainsi. Sans bouger. Je dormais à en perdre la notion du temps. Sans rien voir et, au fond, sans rien subir. J’ai fini par croire que c’était ça être mort, que j’étais dans un ventre immense, celui d’une grosse bête. J’en ai oublié Steve et mon ancienne vie. Des fois je gargouillais trop fort alors, une ombre descendait, faisait un peu de bruit et je sombrais à nouveau dans des nuits sans rêve.

Dans mon délire je ne me suis plus vu enfant mais graine. Une petite graine jetée dans un confortable utérus factice. 31 jours de gestation intense, de cris, de larmes et, des fois, de soubresauts de vie. De cette obscurité est né le vrai Cassidy, sorti de ce bide gluant par une policière plus perspicace que les autres. Elle est restée assez longtemps pour que dans mes dernières ressources me viennent la force de hurler. Alors la bête m’a recraché à la lumière du jour, puant et gémissant comme un bébé. J’ai été hospitalisé pour mon bras gauche, que Steve avait pensé guérir avec une attèle, mais la fracture était vilaine et l’immobilité l’avait presque nécrosée. Les médecins ont longtemps essayé de lui rendre toute sa fonctionnalité seulement mon annulaire et mon auriculaire restèrent paralysés.
Le fait que je sois en dénutrition n’aida en rien ce résultat. Steve me nourrissait aux petits pots dans mes moments de semi-lucidité, en ajoutant à cette décoction des médicaments périmés qu’il récupérait dans les poubelles de pharmacies.

Mon sang était tellement empoisonné que ces moments de lucidités relevaient presque du miracle.

A retrouver une solidité physique et psychologique je mis presque un an. Après quoi mes parents changèrent complétement leur façon de voir et ne comptèrent plus l’argent qu’ils dépensaient pour ma sœur et moi. C’est ma sœur qui les endetta le plus, moi je ne demandais presque rien.

Quand j’eus l’âge je m’orientai vers des études de polices et je me spécialisai dans les enlèvements d’enfants. Je n’étais pas le premier de ma promotion, mais je n’étais pas non plus un cancre, ce qui me permit d’avoir une bourse d’étude pour partir finir mon école en Angleterre. C’est là-bas que j’ai rencontré Mila, ma future femme. Pour moi c’était la plus belle des créatures, la plus attendrissante et la plus attachante. Son rire me rappelait le printemps, plein de couleurs qui vous balayent d’un vent tiède. Mila c’était mon coup de foudre. A peine quelques mois après notre rencontre je la demandais en mariage, persuadé de la réussite de notre couple. Nous nous aimions tellement… Elle accepta sans l’ombre d’un doute et nous coulâmes des jours heureux. J’eus mon diplôme et elle, qui étudiait la médecine, finit aussi par l’avoir. Nous louâmes une maison dans un quartier chaleureux et…

Mon boulot nous tua, certainement.
Plus je gravissais les échelons et moins j’étais à la maison. Mila rêvait d’une vie de famille et moi je voyais trop d’horreurs. Je n’avais aucune envie que mes enfants subissent ce que d’autres subissaient. Je n’aurais jamais pu le supporter. Et plus ces horreurs gravitaient autour de moi et plus je sentais quelque chose en moi, de terrible.

On arriva à survivre comme ça. Du moins un temps, parce que je n’ai rien vu jusqu’à ce que je rentre plus tôt chez moi.

Je me souviens de Mila… De sa bouche s’ouvrant et se fermant dans un rictus désolé. Je ne l’ai pas écoutée, sachant d’avance tous les mensonges qu’elle me débitait.
Elle était dans notre chambre à coucher, forniquant avec mon voisin et ami, John. Un ouvrier, sympa, célibataire, avec des horaires réguliers…

Là j’ai su que, lorsqu’on naissait de l’obscurité, nous ne pouvions qu’y retourner.
Tout ça, ce n’était qu’une question de temps.

Alors, oui, je suis sorti de cette chambre ou Mila semblait être persuadée que la couverture qu’elle tenait fermement lui servirait de rempart…
Je suis sorti, j’ai fait quelques pas, j’ai ouvert un placard et j’ai empoigné une batte de baseball.
La suite est évidente, limpide : je suis retourné dans la chambre où John et Mila essayaient maladroitement de se rhabiller et j’ai fracassé la tête de John à coup de batte… Jusqu’à ce qu’il ne ressemble à rien d’autre qu’à un tas de chair fraîche. Jusqu’à ce que les cris de Mila soient étouffés par les remous de mon arme dans la flaque de sang que j’avais érigée en l’honneur de notre amour oublié.

Et puis Mila a vomi avant de s’écrouler à terre… Elle était… Sous le choc comme on dit. J’ai appris par la suite qu’elle était enceinte – en plus. Qu’elle était enceinte de John.

Je n’ai jamais revu Mila. Je ne suis pas passé par la case départ et je n’ai pas touché 20 000 livres. Je suis allé droit en prison, sans rien démentir. Mon premier avocat voulait vraiment me sauver, raccourcir ma peine impressionnante. Je lui ai dit que non, il a insisté… Le passer à tabac a scellé mon destin, bien sûr, et mon second avocat a conclu l’affaire rapidement.

Mes parents ne s’en sont jamais remis. Ma mère s’est suicidé sous l’afflux des menaces, mon père a sombré dans l’alcool, ma sœur est venue vivre en Angleterre. Quand j’ai tué John je ne pensais arrêter que sa vie, mais je me suis trompé. J’ai paralysé la vie de plus de dix personnes qui ont pourri la vie d’une dizaine d’autres personnes. Et tout ça, sans l’ombre d’un remords.

J’ai passé 5 ans en prison. Des journées rythmées par le cycle carcéral. Des journées où vous êtes épiés par le regard de matons qui vous méprisent et que vous effrayez malgré tout. Des journées où les autres détenus essayent de faire de vous des chiennes. Des journées où tout peut basculer.
Mon seul plaisir, c’était les visites de ma sœur. Elle ne m’a jamais jugé, parce que je pense qu’au fond le fait que Mila ait disparut de ma vie la rendait heureuse. Ryan ne fut jamais aussi merveilleuse qu’à cette période alors que moi je vieillissais un peu trop vite.

Enfin, un matin, un maton est rentré dans ma cellule, à une heure peu habituelle, et a jeté sur mon ventre une lettre déjà ouverte. J’en fis abstraction, même si elle m’était directement destinée.
L’écriture y était délicate, le contenu, quant à lui, était surprenant sans plus… On me conviait sur une île aux prisonniers, quelque part en Angleterre. Une île éloignée, comme celle en Amérique, où ils apprennent à des incorrigibles à vivre avec la nature. La pratique avait fait ses preuves outre-manche, alors pourquoi pas ici ?
Dans l’un des derniers paragraphes était précisé que le juge chargé de mon dossier avait été réticent avant de céder face au chaos que j’arrivais à engendrer – personne n’arrivait plus à canaliser mes moments de rage. Mais aussi que ma sœur serait la première prévenue si je venais à accepter. A cette lettre était joint un dossier qui n’attendait plus que ma signature.

Quand il me vit feuilleter ses dernières pages, le maton me tendit un stylo.

- Combien de temps ? demandai-je. Avant de signer.
-Trois jours, pas plus.

J’ai donc pris mon temps, attendant avec impatience la visite hebdomadaire de Ryan… Mais au troisième jour elle ne vint pas. On me représenta alors la feuille qui scellerait le reste de ma vie sur une île bourrée de tordus et d’optimistes et j’ai signé. J’ai signé sans savoir que tout ne se passerait pas comme prévu.
Sur la route, la fourgonnette dans laquelle j’étais précautionneusement attaché s’arrêta. Le conducteur coupa le contact. Le silence se fit. Durant un laps de temps interminable j’essayai de me tordre dans tous les sens pour capter le moindre petit bruit. Mais rien, rien jusqu’à ce qu’un homme cagoulé ouvre précipitamment la porte pour se jeter sur moi. Tombant à moitié sur le côté je tentai de le repousser mais il n’eut qu’à me donner un coup de coude dans la pommette pour m’étourdir. Ensuite j’ai seulement senti une piqûre dans mon bras et……







4 - caractéristiques diverses
Attributs Physiques : Physiquement, je fais plus vieux que mon âge... Dans la famille, on m'a toujours pris pour l'aîné. Ça doit être génétique, même si je ne sais pas de quels gènes j'ai hérité.
J'ai donc un visage carré, de petits yeux vairons (l'un bleu, l'autre vert) un nez carrément épaté, une bouche fine, masculine, des cheveux blonds cendrées mi longs. Je suis grand, 1m90, carré, j'ai de larges épaules, des muscles apparents sans être grandiloquents. Je suis, en quelque sorte, un homme passe partout.
Ah! Mais je suis charismatique, mes sourires font généralement fondre, mes dents sont bien blanches et bien alignées. J'ai une petite cicatrice sous le menton que les femmes semblaient appréciées (et d’autres, ailleurs, visibles par les privilégiés)... J'aurais pu avoir une autre vie si je n'avais pas été celui que je suis.

Profil Psychologique : Dans ma tête c’est un champ de bataille. Il y a mon monstre dans une tranchée, ma conscience dans l’autre. Ici se livre un combat sans merci.

Ma conscience d’abord.
Elle fait de moi un homme droit. Elle m’offre des valeurs qui se perdent.
Je suis avant tout fidèle, pas question pour moi de trahir paroles ou épouse.
Comme je parle peu, on me trouve plutôt facile à vivre ; bien que je traite avec l’humour noir et que j’aie un manque évident d’empathie, on m’excuse, à cause de mon enfance et de mon métier. On fait semblant de me comprendre, et je fais semblant d’apprécier.
A l’école, on m’a appris à être perspicace, à savoir reconnaître les méchants et à ne pas me fier à la première impression – voire à mon instinct. Les années m’ont apprises à me fier à mon instinct et à savoir toucher là où ça fait mal.
Discret et serviable, je ne rechigne pas souvent à la tâche et, même si j’embaume l’air de mes proches avec mes cigarettes, mon flegme apparent les tempère.
J’ai un avis quand on s’y intéresse, généralement objectif... Ou bien abrupt. Enfin, on me contredit rarement, puisque les seuls qui s’y sont risqué se sont vue enrôlé dans une joute verbale très animée, tant et si bien qu’ils ont dû céder face à ma tendance certaine à la frénésie. Ah… Mais on m’excuse, encore et toujours : j’ai un travail très éprouvant !

Comment ne pas finir par croire que toute ma rage venait de là…

Mon monstre ensuite.
Il est là, je le sens, tous les jours, toutes les nuits… Il est mon insomnie. Parce que malgré des années d’effort il y a des sentiments que je n’arrive pas à distinguer. Des fois tout se mélange. Quand je crie, quand je frappe, quand je souffre et quand j’aime. Oui, tout ça, pour moi c’est fortement similaire.
Mila a su me canaliser, parce qu’avec elle tout me semblait très clair.
Mais après, mais avant… Je ne pouvais envisager l’amour sans une douleur constante, sans des cris et sans une haine viscérale ; cette haine terrible qui peut pousser au crime. J’ai toujours aimé jouer à des jeux dangereux, avec ma sœur… Son visage. Flirter avec la mort, la mienne et puis celle des autres en m’adonnant à des sports de combat pas toujours légaux. Ainsi je me sens Moi.
Oui, c’est pour ça, qu’au fond, je ne suis qu’un manipulateur. Qu’un manipulateur cynique capable de se mentir à lui-même pour ajuster sa vie du parfait mari. Mais tout ça c’est bel et bien fini.

Je suis né dans l’ombre, elle a fait de moi le fils de la colère, alors je vous déteste.
Je vous déteste vous tous et si je le pouvais je vous tuerais.
Je vous tuerais parce que vous ne m’avais pas sauvé à temps.
Vous avez sauvé le mauvais Cassidy.
Envers et contre tous.

Alors, comment puis-je ne pas être animé de cette haine qui me fait détester l’Être ?


Petit(s) Plus :
Cassidy :
• Est ambidextre ;
• Est insomniaque ;
• Joue du piano ;
• S'y connaît en art ;
• Fume comme un pompier ;
• A fait activement du Free Fight et du Kick Boxing ;
• Est un motard chevronné ;
• Est un adepte du bondage ;
• Se scarifie à l’intérieur de la cuisse à chaque affaire qu’il ne résolve pas à temps, pour toutes les jeunes victimes oubliées (possède actuellement 13 grossières cicatrices) ;
• Est aquaphobe, sa soeur lui a appris à nager, ses parents lui ont payé des cours particuliers, mais rien n'a jamais pu y faire, les profondeurs le tétanise ;
• Est aussi claustrophobe, mais ça personne ne se demande d'où ça vient.

Connaissances : Ryan Smith (pv) > Nous avons eu quelques jeux malsains à une époque, mais l'amour fraternel est plus fort que tout.











5 - le joueur / la joueuse

Quelle célébrité avez vous choisie ? Nikolaj Coster-Waldau
Comment avez-vous connu le forum ? Co-admin de la version précédente
Ce qui a poussé votre inscription ? Rolling Eyes
Avez- vous des critiques/remarques à faire ? Ca serait étonnant que j’en fasse !


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